[Interview] "L'accession modérée représente 60 % de notre activité"
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Sonia Martin Del campo, la présidente de Seixo-Habitat, répond à quelques questions sur son métier de promoteur dans le sud-ouest. Quel est le positionnement de Seixo-habitat ? 
Nous réalisons des immeubles collectifs, dans des villes moyennes du Sud-Ouest : Bayonne, Biarritz, Arcachon… Mais aussi dans des villes plus grandes : Bordeaux, Toulouse, et également en Île-de-France. Pour quel type de logement ? Nous sommes positionnés plutôt sur l’accession modérée, qui représente 60 % de la clientèle, les autres sont des investisseurs, qui s’appuient sur le dispositif Pinel. Nos programmes sont assez intimistes, autour de 30 à 40 logements par opération. Nous avons 15 programmes en cours de commercialisation.
Comment opérez-vous votre recherche du foncier ? Je suis en première ligne dans ce domaine, où je fais jouer mes réseaux et mes contacts dans les collectivités. Qu’attendez-vous de 2016 ? Après 2015, qui était une année de redémarrage, 2016 devrait continuer dans cette voie, avec malheureusement certains freins qui nous ralentissent… Par exemple ? La lenteur des opérations. Le traitement administratif des dossiers nous amène à des programmes qui peuvent durer jusqu’à 6 ans, alors que c’était 3 ans il n’y a pas si longtemps. Dans quel éventail de prix se situent vos opérations ? Entre 2800 et 2900 €/m², jusqu’à 3600 € dans Bordeaux. Comment faites-vous connaître vos offres ? Nous diffusons essentiellement sur internet, mais aussi par affichage et par annonces dans des revues.
Nous réalisons des immeubles collectifs, dans des villes moyennes du Sud-Ouest : Bayonne, Biarritz, Arcachon… Mais aussi dans des villes plus grandes : Bordeaux, Toulouse, et également en Île-de-France. Pour quel type de logement ? Nous sommes positionnés plutôt sur l’accession modérée, qui représente 60 % de la clientèle, les autres sont des investisseurs, qui s’appuient sur le dispositif Pinel. Nos programmes sont assez intimistes, autour de 30 à 40 logements par opération. Nous avons 15 programmes en cours de commercialisation. Comment opérez-vous votre recherche du foncier ? Je suis en première ligne dans ce domaine, où je fais jouer mes réseaux et mes contacts dans les collectivités. Qu’attendez-vous de 2016 ? Après 2015, qui était une année de redémarrage, 2016 devrait continuer dans cette voie, avec malheureusement certains freins qui nous ralentissent… Par exemple ? La lenteur des opérations. Le traitement administratif des dossiers nous amène à des programmes qui peuvent durer jusqu’à 6 ans, alors que c’était 3 ans il n’y a pas si longtemps. Dans quel éventail de prix se situent vos opérations ? Entre 2800 et 2900 €/m², jusqu’à 3600 € dans Bordeaux. Comment faites-vous connaître vos offres ? Nous diffusons essentiellement sur internet, mais aussi par affichage et par annonces dans des revues.
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