Borne et Delaunay : "Le marché immobilier niçois se porte bien, au-delà de toute espérance".

Marché
Depuis 70 ans Borne & Delaunay intervient sur le marché azuréen. La société s'est développée récemment par le biais de croissance externe, avec le rachat successif de deux agences locales. Thomas Llacer, négociateur immobilier, nous en dit plus sur l'entreprise et le marché.

Pourriez-vous nous présenter Borne & Delaunay ?  

Borne & Delaunay est une entreprise familiale et indépendante dont le portefeuille existe depuis 1950. 
Nous avons récemment racheté le Cabinet A. Malherbe et Cabinet GLS implanté à Nice depuis plus de 40 ans. Ces rachats renforcent notre position de leader indépendant du marché immobilier local. 

Nous sommes une trentaine de collaborateurs, tous spécialisés dans leur domaine (juridique, commercial …). Nous réalisons une centaine de transactions par an avec une équipe de 6 négociateurs.

Sur quel secteur géographique intervenez-vous ?  

Nous sommes présents sur le marché immobilier azuréen, de Cannes à Menton.

Nous avons deux lieux de réception pour nos clients situés à Nice :
Au 2 rue Valperga : on retrouve nos activités de gestion : syndic de copropriété et la gestion locative ;
Au 4 bis place Massena : on retrouve nos activités commerciales : achat, vente et location.

Comment se porte le marché local ces derniers mois ?  

Le marché immobilier niçois se porte bien, au-delà de toute espérance. Il reste tonique et dynamique.

Nous avions des raisons légitimes d’être inquiets. De ce fait, nous ne savions pas comment les Français allaient traverser cette crise sanitaire inédite, ni quelles seraient leurs intentions d’achat ou de revente immobilière. L’année qui vient de s’écouler nous a parfaitement rassurés.

La crise n’a pas profondément modifié le marché immobilier niçois. Les acheteurs et les vendeurs sont toujours présents. Comme partout, nous avons constaté que les niçois avaient besoin de changement. Ils n’ont pas hésité à se lancer dans de nouveaux projets. Les taux d’emprunts sont restés extrêmement bas et la majorité des situations professionnelles ont été préservées grâce aux aides de l’état.
Nous constatons que la demande est bien supérieure à l’offre. Cela réduit considérablement les délais de vente. Lorsque nous rentrons un mandat ce dernier se vend 9 fois sur 10 dans le premier mois. Cela induit d’ailleurs une légère hausse des prix car les acquéreurs ne négocient pas. Ils préfèrent payer un peu plus cher pour être sûrs d’obtenir le bien qu’ils veulent, au vu de la pénurie d’offres. 

Quels conseils pourriez-vous donner aux acheteurs et aux vendeurs ?  

Le conseil que je pourrais donner aux vendeurs est de faire appel à un professionnel qui saura d’une part estimer le bien à sa juste valeur et d’autre part sécuriser la transaction.
Également, il vaut mieux confier la vente de son bien en exclusivité ce qui représente un gage de qualité pour les acquéreurs qui ne verront qu’une seule commercialisation et n’auront qu’un interlocuteur.

Le conseil à donner aux acquéreurs est de bien déterminer tous les critères de recherche et de valider le financement de son bien avant d’entreprendre les visites. Ainsi ils seront à même de réagir rapidement lorsqu’un bien leur plaira et de ne pas le laisser « filer » surtout en cette période de forte demande et de raréfaction des offres.

À lire également